Dans les principes de l’économie ce qui est fongible est facilement échangeable
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On peut donc échanger un billet de 20 EUR contre 2 billets de 10 EUR.
Ce qui est non fongible est impossible à échanger parce que caractérisé par son unicité comme par exemple : La Joconde. Vous pouvez en faire des copies ou des photos mais il n’y aura jamais qu’une seule Joconde peinte par ce bon vieux boute-en-train de Léo.
Le #NFT peut donc être une image ou une oeuvre numérique mais qui doit contenir un « token » ou numéro de série qui rend ce bien numérique identifiable et unique mais rien ne vous empêche de le copier… il n’aura juste, comme la copie en forme de croûte de la Joconde, aucune valeur ! On vous passe les détails de la “blockchain” qui sécurise tout ça mais sachez que ce n’est pas aussi simple que ça d’ajouter un token.
On a vu naitre ces derniers mois des milliers d’images vendues plusieurs millions d’euros sur des plateformes spécialisées comme #Opensea
Certains verront ce mouvement comme une révolution artistique et qui ont payé plusieurs millions d’euros pour une image moche et pixelisée et d’autres comme de l’aberrante spéculation sur des oeuvres sans fond (ni forme parfois).
Sachez enfin que tout le monde peut créer des NFT… et si vous avez la bonne idée de créer un NFT avec le premier dessin immonde de votre bambin et que celui-ci devient le futur artiste à la mode dans 20 ans… ce sera jackpot
! Du moins si le mouvement n’a pas disparu d’ici là !
Envie de craquer ou de vous émerveiller devant des NFT, allez faire un tour sur www.opensea.io (on ne prend pas de commissions!)
En résumé : Un NFT est un bien numérique (image, oeuvre, son, document…) avec une clé d’identification unique (repris dans la blockchain) qui identifie et authentifie formellement son créateur ainsi que son propriétaire actuel et les précédents.